C'est une nuit d'orage sur Paragon City.Vous connaissez Paragon City ?
Evidemment, puisque c'est une des metropoles qui existent depuis si longtemps qu'elles sont devenues presque aussi importantes que certains Etats.
Et si vous connaissez Paragon City, alors vous connaissez tres certainement l'etre le plus singulier qui puisse y vivre. Je veux parler de Constantine. Cela n'apparait pas à premiere vue, mais cet individu est un heros. Sous son physique chetif et son apparence fragile, se cache en fait un etre doué d'une force physique impressionante, et d'une invulnerabilite maintes fois prouvée.
Et donc, si vous savez qui est Constantine, vous ne devez pas ignorer l'existence de tous les autres. En effet, il a rencontré il y a peu de temps, quatre autres individus, avec qui il s'est plus ou moins lié, et avec qui il a reussi à sauver la ville d'une terrible menace.
Il a tout d'abord rencontré Paul, on s'en souvient, dans d'assez droles circonstances. Ce dernier est medecin dans sa vie, et il est doté d'un pouvoir plutot etrange qui le lie au regne végétal, d'où il tire une tres grande force. Un peu plus tard, il croisé la route d'Azazel, un homme etrange à la peau rouge et au front orné de cornes, et doué du don d'ubiquité, puis celle de Zakharya, un scientifique qui semble trouver son energie dans les ultraviolets. A ceux là est venus s'ajouter Jephet, qui etait dans le camp ennemi, avant de rejoindre nos heros.
Ces cinq là, apres avoir demantelé l'organisation nommée L'Ombre, sans se le dire de maniere explicite, b'ont pas interrompu leur collaboration, tissant meme des liens d'amitié, et restant prets à lutter contre le mal.
Cette nuit, l'action se porte sur Azazel. Toute sa vie, il a érré dans le monde entier, cherchant un point d'ancrage, quelquechose qui le lierait à cette vie cruelle que lui ont conféré sa peau et ses cornes. Il a depuis peu elu domicile à Paragon City, pensant avoir trouvé quelquechose qui en vaille la peine, c'est-à-dire des amis.
Cette nuit, il pleut des cordes, mais cela ne derange pas notre demon ecalate. Son attention est portée sur un batiment.
On est assez loin du centre ville et de ses grattes-ciel, mais les immeubles sont tout de meme assez hauts. Le batiments que surveille Azazel semble plutot vetuste: en effet, toutes les issues de la facade sont condamnées, et il est à premiere vue impossible d'y penetrer. Mais lorsque notre demon voit deuxhommes à l'allure patibulaire y entrer chaque jour à la meme heure, par une sortie de secours demeurée intacte, force est pour leui de mobiliser son attention sur ledit immeuble.
Notre heros ajuste sa capuche, tandis que la pluie redouble d'intensité, comme pour laver la ville des crimes qui y sont commis en permanence
"-Comment y entrer?" se dit-il. "Toutes les issues sont condamnées, et la sortie de secours doit etre suveillée.... tant pis, je vais faire une entrée en force, lorsque les deux gras arriveront.."
Justement, les deux hommes sont au rendez vous. Il y en a un blond, de petite taille et un autre chauve, à l'allure nerveuse. Ils tournent au coin de la rue, pour s'engouffrer dans la ruelle. D'un pas rapide, ils s'arretent devant l'issue de secours.
Pa de surprise pour nous, car l'ecarlate est deja devant la porte. Stupeur des deux acolytes, qui degainent deus lames, comme ils le font sans doute pour intimider leurs proies habituelles. Mais comme chacun sait, Azazel n'est pas de ceux qu'une lame, meme de la taille d'un avant bras, est sensée effrayer. Il degaine à son tour son sabre, et les deux brutes comprennent la difference qu'il y a entre eux et Azazel.
"-Desolé les gars, je crois que vous allez devoir vous calmer....
-T'es qui, toi?
-Un type qui voudrait savoir ce que vous cachez dans ce batiment
-C'est pas tes affaires, repond l'autre imprudent" Azazel, irrité, aproche la lame de son sabre sous la gorge de son interlocuteur, en la faisant danser dangereusement d'un bout à l'autre. Apeuré, le voyou avoue sans plus de formalités.
-C'est bon, c'est bon... on a un atelier, on y fait travailler des clandestins, au sous sol....". Il n'en faut pas plus à Azazel pour agir.
Decidement, il n'a de cesse de constater l'ampleur de la misere humaine, surtout dans cette ville immense, ogressere'doutable qui engloutit quiconque n'y prend pas garde. L'Homme est né pour exploiter l'Homme, pour Azazel cela ne fait desormais aucun doute.
Notre demon rouge en vient à se demander si une egalité entre les hommes est reelement possible, envisageable. Les riches font travailler les pauvres sans se soucier de leur sort; ils en viennent meme à considerer ces etres eperdus, malingres et sans espoirs comme une simple source de richesse. Et de l'autre coté, les pauvres se lamentent sur leur sort, protestant parfois. Mais il y voit clair, les velleites de contestations qui animent les pauvres ne trahissent en fait qu'une volonté egoiste d'etre riches à la place des riches. Si les forts accablent les faibles, mais que les faiblent n'ont de cesse de ruminer leur ressentiments et de fantasmer à les detroner, alors il est clair que l'egalité ne sera pas possible.....
Et si, pense-t-il, il arrive à defaire le reseau d'ateliers clandestins, de vente de drogue et de prostitution qui commence à s'etendre sur la ville, qu'est ce qui lui dit que ce sera terminé? Comment etre sur d'eradiquer le crime de maniere definitive?
Azazel a parfois l'impression de consacrer son temps à une cause illusoire. En effet pour etre certain que le mal et la corruption ne reapparaissent pas, le moyen le plus sur serait de supprimer toute fore de liberté, et d'aneantir la volonté de l'individu. Consatntine, lorsqu'il est dans ses mauvais jours, eructe sans cesse qu'il faudrait lobotomiser tout individu qui aurait violé la loi pour la premiere fois de sa vie. Evidemment, notre heros, ni aucun de ses compagnons, n'est de cet avis. Ils se battent justement pour que l'on puisse vivre mieux sans en arriver là.
*******
Azazel arrive donc seul, apres avoir assomé consciencieusement les deux acolytes. Le seuil franchi, notre ecarlate est frappé par l'insalubrité des lieux.
Il est au rez-de-chaussée, et il regne deja une athmosphere pesante; on pourrait presque entendre les bruits des machines dans le sous sol. Il ne monte pas verifier la presence de gardes en haut. L'ideal serait de pouvoir evacuer les pauvres petits mexicains sans attirer l'attention d'eventuels gardes, car se battre en presence de civils n'est pas quelquechose de recommandé par l'experience. Notre heros raisonne rarement de maniere empirique, mais force est de constater la logique de cette reaction.
La furtivite est de mise, donc. Azazel entre donc à pas feutrés, prenant l'escalier en s'enfoncant dans le sous-sol. Apres quelques dizaines de marches, Il debouche sur un hangar, une sorte de cave amenagée en atelier, comme le disait l'autre type. Des dizaines d'individus, indisemblables au premier regard, lui tournent le dos, affairés à leurs machines à coudre. Au plafond, des neons diffusent une lumiere blafarde, qui rend l'ambiance juste un peu plus oppressante. Les ronronements perpetuels couvrent à peine les cris des quatres negriers presents dans la salle.
De la ou il se trouve, notre heros ne peut etre vu par aucun des garde, qui se trouvent chacun à un coin de la salle.
Tout d'abord, l'ecarlate se faufile dans la premiere rangée, la plus accessible depuis l'entrée. Un des ouvriers le remarque, et marque un sursaut, que le garde remarque de suite.
"-On ne traine pas, Juanito: plus vite que ça!
-Escoussez moi, missiou, yé mé soui piqué avéc oune aiguille..." Le garde ne releve pas, et laisse Juanito à son travail. C'est l'occasion revée pour Azazel de neutraliser le premier garde. Il se leve, tourné vers ce dernier. L' effet de surprise est terrible. L'ecarlate use alors de son principal atout: l'ubiquité, qui se traduit par un deplacement instantané, au sens litteral du terme. A peine l'image du demon imprimée dans la retine du negrier-exploiteur-de-clandestins, celui-ci est deja devant lui, et le frappe d'un coude à la tempe. Pour l'instant, personne n'a rien remarqué. Les ouvriers sont otujous absorbés par leur travail, à croire qu'ils sont venus de leur plein gré exercer ce passionant metier..
Notre heros continue son chemin à travers les rangées de l'atelier. Il atteint le second garde. Il lui faut faire vite, sans attendre que les trois autres se reveillent, et sonnent l'alarme. C'est pourquoi il decide d'agir dans la foulée. Neutraliser plusieurs hommes est chose facile pour qui peut etre à plusieurs endroits simultanement.
Notre heros effectue donc ses deplacements alternatifs, assomant tour à tour les gardes restants, qui s'ecroulent foudroyés par la vitesse de notre demon.
Mais surprise pour Azazel, l'alarme st donnée malgré tous ses efforts de discretion.
"-Sortez! sortez vite! dit-il en s'adressant aux clandestins, qui ne reagissent pas.
-Depechez vous, si vous voulez etre libres!
-Nous né voulons pas etre libres, nous voulons jouste travailler, pour vivre! Nous dévons nourrir nos familles, nous dévons rester ici, etranger!"
Mais la discussion est interompue par un enorme vacarme. Un choc sourd, qui provoque la panique chez tous les clandestins. Tous desertent leurs postes, courant dans tous les sens. A l'entree de la piece, surgissent deux individus. Notre heros devine que ces deux la ne sont pas ordinaires...
Voilà, esperons que cette fois ci quelqu'un le lira... ça vous plait?
Evidemment, puisque c'est une des metropoles qui existent depuis si longtemps qu'elles sont devenues presque aussi importantes que certains Etats.
Et si vous connaissez Paragon City, alors vous connaissez tres certainement l'etre le plus singulier qui puisse y vivre. Je veux parler de Constantine. Cela n'apparait pas à premiere vue, mais cet individu est un heros. Sous son physique chetif et son apparence fragile, se cache en fait un etre doué d'une force physique impressionante, et d'une invulnerabilite maintes fois prouvée.
Et donc, si vous savez qui est Constantine, vous ne devez pas ignorer l'existence de tous les autres. En effet, il a rencontré il y a peu de temps, quatre autres individus, avec qui il s'est plus ou moins lié, et avec qui il a reussi à sauver la ville d'une terrible menace.
Il a tout d'abord rencontré Paul, on s'en souvient, dans d'assez droles circonstances. Ce dernier est medecin dans sa vie, et il est doté d'un pouvoir plutot etrange qui le lie au regne végétal, d'où il tire une tres grande force. Un peu plus tard, il croisé la route d'Azazel, un homme etrange à la peau rouge et au front orné de cornes, et doué du don d'ubiquité, puis celle de Zakharya, un scientifique qui semble trouver son energie dans les ultraviolets. A ceux là est venus s'ajouter Jephet, qui etait dans le camp ennemi, avant de rejoindre nos heros.
Ces cinq là, apres avoir demantelé l'organisation nommée L'Ombre, sans se le dire de maniere explicite, b'ont pas interrompu leur collaboration, tissant meme des liens d'amitié, et restant prets à lutter contre le mal.
Cette nuit, l'action se porte sur Azazel. Toute sa vie, il a érré dans le monde entier, cherchant un point d'ancrage, quelquechose qui le lierait à cette vie cruelle que lui ont conféré sa peau et ses cornes. Il a depuis peu elu domicile à Paragon City, pensant avoir trouvé quelquechose qui en vaille la peine, c'est-à-dire des amis.
Cette nuit, il pleut des cordes, mais cela ne derange pas notre demon ecalate. Son attention est portée sur un batiment.
On est assez loin du centre ville et de ses grattes-ciel, mais les immeubles sont tout de meme assez hauts. Le batiments que surveille Azazel semble plutot vetuste: en effet, toutes les issues de la facade sont condamnées, et il est à premiere vue impossible d'y penetrer. Mais lorsque notre demon voit deuxhommes à l'allure patibulaire y entrer chaque jour à la meme heure, par une sortie de secours demeurée intacte, force est pour leui de mobiliser son attention sur ledit immeuble.
Notre heros ajuste sa capuche, tandis que la pluie redouble d'intensité, comme pour laver la ville des crimes qui y sont commis en permanence
"-Comment y entrer?" se dit-il. "Toutes les issues sont condamnées, et la sortie de secours doit etre suveillée.... tant pis, je vais faire une entrée en force, lorsque les deux gras arriveront.."
Justement, les deux hommes sont au rendez vous. Il y en a un blond, de petite taille et un autre chauve, à l'allure nerveuse. Ils tournent au coin de la rue, pour s'engouffrer dans la ruelle. D'un pas rapide, ils s'arretent devant l'issue de secours.
Pa de surprise pour nous, car l'ecarlate est deja devant la porte. Stupeur des deux acolytes, qui degainent deus lames, comme ils le font sans doute pour intimider leurs proies habituelles. Mais comme chacun sait, Azazel n'est pas de ceux qu'une lame, meme de la taille d'un avant bras, est sensée effrayer. Il degaine à son tour son sabre, et les deux brutes comprennent la difference qu'il y a entre eux et Azazel.
"-Desolé les gars, je crois que vous allez devoir vous calmer....
-T'es qui, toi?
-Un type qui voudrait savoir ce que vous cachez dans ce batiment
-C'est pas tes affaires, repond l'autre imprudent" Azazel, irrité, aproche la lame de son sabre sous la gorge de son interlocuteur, en la faisant danser dangereusement d'un bout à l'autre. Apeuré, le voyou avoue sans plus de formalités.
-C'est bon, c'est bon... on a un atelier, on y fait travailler des clandestins, au sous sol....". Il n'en faut pas plus à Azazel pour agir.
Decidement, il n'a de cesse de constater l'ampleur de la misere humaine, surtout dans cette ville immense, ogressere'doutable qui engloutit quiconque n'y prend pas garde. L'Homme est né pour exploiter l'Homme, pour Azazel cela ne fait desormais aucun doute.
Notre demon rouge en vient à se demander si une egalité entre les hommes est reelement possible, envisageable. Les riches font travailler les pauvres sans se soucier de leur sort; ils en viennent meme à considerer ces etres eperdus, malingres et sans espoirs comme une simple source de richesse. Et de l'autre coté, les pauvres se lamentent sur leur sort, protestant parfois. Mais il y voit clair, les velleites de contestations qui animent les pauvres ne trahissent en fait qu'une volonté egoiste d'etre riches à la place des riches. Si les forts accablent les faibles, mais que les faiblent n'ont de cesse de ruminer leur ressentiments et de fantasmer à les detroner, alors il est clair que l'egalité ne sera pas possible.....
Et si, pense-t-il, il arrive à defaire le reseau d'ateliers clandestins, de vente de drogue et de prostitution qui commence à s'etendre sur la ville, qu'est ce qui lui dit que ce sera terminé? Comment etre sur d'eradiquer le crime de maniere definitive?
Azazel a parfois l'impression de consacrer son temps à une cause illusoire. En effet pour etre certain que le mal et la corruption ne reapparaissent pas, le moyen le plus sur serait de supprimer toute fore de liberté, et d'aneantir la volonté de l'individu. Consatntine, lorsqu'il est dans ses mauvais jours, eructe sans cesse qu'il faudrait lobotomiser tout individu qui aurait violé la loi pour la premiere fois de sa vie. Evidemment, notre heros, ni aucun de ses compagnons, n'est de cet avis. Ils se battent justement pour que l'on puisse vivre mieux sans en arriver là.
*******
Azazel arrive donc seul, apres avoir assomé consciencieusement les deux acolytes. Le seuil franchi, notre ecarlate est frappé par l'insalubrité des lieux.
Il est au rez-de-chaussée, et il regne deja une athmosphere pesante; on pourrait presque entendre les bruits des machines dans le sous sol. Il ne monte pas verifier la presence de gardes en haut. L'ideal serait de pouvoir evacuer les pauvres petits mexicains sans attirer l'attention d'eventuels gardes, car se battre en presence de civils n'est pas quelquechose de recommandé par l'experience. Notre heros raisonne rarement de maniere empirique, mais force est de constater la logique de cette reaction.
La furtivite est de mise, donc. Azazel entre donc à pas feutrés, prenant l'escalier en s'enfoncant dans le sous-sol. Apres quelques dizaines de marches, Il debouche sur un hangar, une sorte de cave amenagée en atelier, comme le disait l'autre type. Des dizaines d'individus, indisemblables au premier regard, lui tournent le dos, affairés à leurs machines à coudre. Au plafond, des neons diffusent une lumiere blafarde, qui rend l'ambiance juste un peu plus oppressante. Les ronronements perpetuels couvrent à peine les cris des quatres negriers presents dans la salle.
De la ou il se trouve, notre heros ne peut etre vu par aucun des garde, qui se trouvent chacun à un coin de la salle.
Tout d'abord, l'ecarlate se faufile dans la premiere rangée, la plus accessible depuis l'entrée. Un des ouvriers le remarque, et marque un sursaut, que le garde remarque de suite.
"-On ne traine pas, Juanito: plus vite que ça!
-Escoussez moi, missiou, yé mé soui piqué avéc oune aiguille..." Le garde ne releve pas, et laisse Juanito à son travail. C'est l'occasion revée pour Azazel de neutraliser le premier garde. Il se leve, tourné vers ce dernier. L' effet de surprise est terrible. L'ecarlate use alors de son principal atout: l'ubiquité, qui se traduit par un deplacement instantané, au sens litteral du terme. A peine l'image du demon imprimée dans la retine du negrier-exploiteur-de-clandestins, celui-ci est deja devant lui, et le frappe d'un coude à la tempe. Pour l'instant, personne n'a rien remarqué. Les ouvriers sont otujous absorbés par leur travail, à croire qu'ils sont venus de leur plein gré exercer ce passionant metier..
Notre heros continue son chemin à travers les rangées de l'atelier. Il atteint le second garde. Il lui faut faire vite, sans attendre que les trois autres se reveillent, et sonnent l'alarme. C'est pourquoi il decide d'agir dans la foulée. Neutraliser plusieurs hommes est chose facile pour qui peut etre à plusieurs endroits simultanement.
Notre heros effectue donc ses deplacements alternatifs, assomant tour à tour les gardes restants, qui s'ecroulent foudroyés par la vitesse de notre demon.
Mais surprise pour Azazel, l'alarme st donnée malgré tous ses efforts de discretion.
"-Sortez! sortez vite! dit-il en s'adressant aux clandestins, qui ne reagissent pas.
-Depechez vous, si vous voulez etre libres!
-Nous né voulons pas etre libres, nous voulons jouste travailler, pour vivre! Nous dévons nourrir nos familles, nous dévons rester ici, etranger!"
Mais la discussion est interompue par un enorme vacarme. Un choc sourd, qui provoque la panique chez tous les clandestins. Tous desertent leurs postes, courant dans tous les sens. A l'entree de la piece, surgissent deux individus. Notre heros devine que ces deux la ne sont pas ordinaires...
Voilà, esperons que cette fois ci quelqu'un le lira... ça vous plait?