Le début des années 90 apres avoir donné un second souffle à DareDevil, Elektra et Batman (Dark Knights Returns et Year One, qui donnera d'ailleurs "Batman begins" à l'écran sous peu )Frank Miller signe son oeuvre culte, Sin City. Un Graphic Novel exclusivement en noir et blanc (du moins, au début car tres vite, des petits bouts colorés s'inscriront dans certaines histoires) racontant les péripéties de surhommes empétrés dans des histoires plus sordides les unes que les autres dans une ville corrompue : Sin City.
Voici donc l'adaptation en film sur les écrans français depuis le 1er Juin.
Date de sortie : 01 Juin 2005
Réalisé par Robert Rodriguez, Frank Miller, Quentin Tarantino
Avec Bruce Willis, Mickey Rourke, Jessica Alba
Durée : 2h 3min.
Année de production : 2004
Interdit aux moins de 12 ans
Histoire : 3 anti-héros vont se croiser dans ce film, chacun ayant son histoire.
That Yellow Bastard
Dernier jour de boulot pour le vieux flic Hartigan (B.Willis), apres c'est la retraite. Manque de bol, il va se décider à empêcher seul le fils du sénateur le plus influent du coin de violer et torturer la petite Nancy Callahan, 11ans.
Sin City : Violent Marv
Marv (M. Rourke) s'endors dans les bras de la belle Goldie, à son reveil, elle est morte. Il va tout faire pour la venger, même si cela veut dire s'attaquer à l'homme le plus puissant de la ville.
The Big Fat Kill
Dwight (C. Owen) va avoir fort à faire pour empêcher JackieBoy (B. Del Toro), un flic ripou de causer du tort aux prostituées d'OldTown. Même si elles semblent pouvoir se débrouiller toute seule, elle ne sont pas au bout de leur peine.
Avis :
La claque.
Pas celle ou tu te dis « woha, je m’attendais pas à ca ». Non
Celle que tu te prends et dont tu ne te relève que 2 jours après. Voilà, c’est de ça que je parle.
Comment décrire la chose…. Hum.
Tout le film est en noir et blanc et les quelques incursions de la couleur sont génialement bien dosées, qu’elle fassent ressortir la beauté des yeux de certaines femmes, la kitschitude des basket de Dwight ou la puanteur et la laideur du «Yellow Bastard » (la seule couleur qui apparaît vraiment comme agressive d’ailleurs) , elles savent se faire discrètes mais également salvatrice en rompant la monotonie.
Le jeu d’acteur est impeccable, ( Rourke est énorme, Benicio Del Torro aussi, même Jessica Alba n’est pas détestable) et sert des dialogues drôles, dur et acerbes mais cultes.
Les plans respectent à la lettre le comic-book (à croire qu’il n’ont pas utiliser de story board) et pour crier au scandale niveau fidélité , il faut vraiment être tatillon. Bon ok, on ne voit pas Marv récupérer son gun chez sa mère ou
Les Histoires en elles même sont assez géniales recelant de coups de théatre parfois plus que géniaux
Bon j’arrive pas vraiment à exprimer ce que je ressens pour ce film, alors je vais passer vite fait sur les défauts : Les Sous-titres sont parfois peu lisibles à cause du blanc omniprésent (à la limite je m’en fous, je connais le comic-book et je maitrise plus ou moins bien l’anglais oral, je pense à vous, qui voulez une version audio de qualité, ce que j’ai pu entendre de la VF ne m’a pas enchanté du reste) et Elijah Wood m’a fait penser à Harry Potter sur certains plans, ce qui nique un peu l’ambiance.
Enfin, bref, si vous avez que 8€ et que vous hésitez sur un film à aller voir, ce mois-ci (voir cette année ? ), c’est celui-là !
Ouais, allons-y carrément, à moins d'une grosse surprise, c'est pour moi le film de l'année.
Voici donc l'adaptation en film sur les écrans français depuis le 1er Juin.
Date de sortie : 01 Juin 2005
Réalisé par Robert Rodriguez, Frank Miller, Quentin Tarantino
Avec Bruce Willis, Mickey Rourke, Jessica Alba
Durée : 2h 3min.
Année de production : 2004
Interdit aux moins de 12 ans
Histoire : 3 anti-héros vont se croiser dans ce film, chacun ayant son histoire.
That Yellow Bastard
Dernier jour de boulot pour le vieux flic Hartigan (B.Willis), apres c'est la retraite. Manque de bol, il va se décider à empêcher seul le fils du sénateur le plus influent du coin de violer et torturer la petite Nancy Callahan, 11ans.
Sin City : Violent Marv
Marv (M. Rourke) s'endors dans les bras de la belle Goldie, à son reveil, elle est morte. Il va tout faire pour la venger, même si cela veut dire s'attaquer à l'homme le plus puissant de la ville.
The Big Fat Kill
Dwight (C. Owen) va avoir fort à faire pour empêcher JackieBoy (B. Del Toro), un flic ripou de causer du tort aux prostituées d'OldTown. Même si elles semblent pouvoir se débrouiller toute seule, elle ne sont pas au bout de leur peine.
Avis :
La claque.
Pas celle ou tu te dis « woha, je m’attendais pas à ca ». Non
Celle que tu te prends et dont tu ne te relève que 2 jours après. Voilà, c’est de ça que je parle.
Comment décrire la chose…. Hum.
Tout le film est en noir et blanc et les quelques incursions de la couleur sont génialement bien dosées, qu’elle fassent ressortir la beauté des yeux de certaines femmes, la kitschitude des basket de Dwight ou la puanteur et la laideur du «Yellow Bastard » (la seule couleur qui apparaît vraiment comme agressive d’ailleurs) , elles savent se faire discrètes mais également salvatrice en rompant la monotonie.
Le jeu d’acteur est impeccable, ( Rourke est énorme, Benicio Del Torro aussi, même Jessica Alba n’est pas détestable) et sert des dialogues drôles, dur et acerbes mais cultes.
Les plans respectent à la lettre le comic-book (à croire qu’il n’ont pas utiliser de story board) et pour crier au scandale niveau fidélité , il faut vraiment être tatillon. Bon ok, on ne voit pas Marv récupérer son gun chez sa mère ou
- Spoiler:
- Hartigan faire ses "aveux" aux jury
Les Histoires en elles même sont assez géniales recelant de coups de théatre parfois plus que géniaux
- Spoiler:
- La "Mort" d’Hartigan
Bon j’arrive pas vraiment à exprimer ce que je ressens pour ce film, alors je vais passer vite fait sur les défauts : Les Sous-titres sont parfois peu lisibles à cause du blanc omniprésent (à la limite je m’en fous, je connais le comic-book et je maitrise plus ou moins bien l’anglais oral, je pense à vous, qui voulez une version audio de qualité, ce que j’ai pu entendre de la VF ne m’a pas enchanté du reste) et Elijah Wood m’a fait penser à Harry Potter sur certains plans, ce qui nique un peu l’ambiance.
Enfin, bref, si vous avez que 8€ et que vous hésitez sur un film à aller voir, ce mois-ci (voir cette année ? ), c’est celui-là !
Ouais, allons-y carrément, à moins d'une grosse surprise, c'est pour moi le film de l'année.