Après avoir vaincu une huitaine de super-vilains, Spider-Man eut affaire au Bouffon Vert, qui fut le premier à lui échapper et à conserver son anonymat. Il fut même le premier à découvrir l’identité de Spider-Man, en l’espionnant à son insu grâce à un gaz neutralisant son sens arachnéen du danger. Il captura donc Peter Parker et l’emmena dans son repaire, où il lui révéla sa propre identité : il était en fait Norman Osborn, père de Harry, camarade de Peter à l’Empire State University avec Gwendloyne Stacy.
Spider-Man réussit finalement à vaincre le Bouffon Vert dans un accident qui lui fit même perdre la mémoire.
Retrouvant la mémoire, Norman décida de frapper son ennemi en plein cœur et kidnappa donc Gwen Stacy, qui était devenue entre temps la petite amie de Peter. Il lança alors un ultimatum à Spider-Man sur le pont George Washington, du haut duquel la jeune fille fut précipitée. Spider-Man voulut la rattraper avec sa toile, mais le choc lui brisa la nuque et elle perdit la vie.
Lorsque Spider-Man retrouva le Bouffon Vert, il eut du mal à se retenir de le tuer pour assouvir sa vengeance, mais son ennemi, qui avait moins de scrupules, tenta de l’embrocher avec son planeur téléguidé. Son sens d’araignée le prévenant du danger, il esquiva à temps, et c’est Osborn qui fut empalé.
Il se réveilla à la morgue et, quand il aperçut son fils Harry en train de s’entraîner pour prendre la relève, décida de profiter du fait que tout le monde le croyait mort pour bâtir un empire en Europe.
Pendant ce temps, Harry fut donc la seconde incarnation du Bouffon Vert, et il y eut même une troisième incarnation, certes éphémère puisque sa mort survint très tôt, en la personne du Dr. Bart Hamilton, psy de Harry.
Plus tard, George Hill, un petit voleur fuyant dans les égouts pour échapper à Spider-Man, découvrit un ancien repaire du Bouffon Vert et vendit l’information à Roderick Kingsley. Celui-ci modifia quelque peu l’équipement et devint le Super-Bouffon, après s’être débarrassé du voyou.
Après un essai sur Lefty Donovan, il réussit à recréer la formule du Journal d’Osborn conférant une puissance physique supérieure, et devint un redoutable adversaire pour Spider-Man. L’une de leurs batailles tourna néanmoins au désastre puisque son fourgon blindé, dans lequel ils se trouvaient, tomba dans l’Hudson et s’autodétruisit.
Spider-Man ne retrouva que le masque de son ennemi tandis que celui-ci regagnait son repaire, filé par le reporter du Bugle Ned Leeds. Il le repéra, le captura et lui lava le cerveau pour qu’à l’avenir ce soit lui qui endosse le costume de Super-Bouffon à sa place.
Il fit travailler Ned avec la Rose, alias Richard Fisk, le fils du Caïd, durant une guerre de gangs. Quand la Rose pactisa avec l’Arrangeur, Jack O’Lantern, homme de main de ce dernier, dut contre son gré faire équipe avec le Super-Bouffon.
Entre temps, Flash Thompson, ami de Peter Parker, ayant traité le Super-Bouffon de lâche à la télévision, celui-ci se vengea en le droguant et en lui mettant son costume pour le faire inculper à sa place.
Les lavages de cerveau commençant à rendre Ned instable, Roderick le laissa partir en Allemagne avec Peter Parker pour un reportage, et répandit dans la pègre le bruit qu’il était le Super-Bouffon. Quand Jason Macendale, alias Jack O’Lantern, en eut vent, il fit engager des tueurs de l’Étranger pour éliminer Leeds, et en profita pour prendre sa place.
Las de cette partie de sa vie, Kingsley décida de le laisser faire et de se consacrer à son empire industriel.
Harry Osborn, quant à lui, connut un parcours complexe puisqu’il fut aussi bien le pire ennemi de Spider-Man, dont il connaissait l’identité, que son partenaire lors de quelques affaires. Il finit par mourir empoisonné par le sérum qui accroissait sa puissance.
Macendale acquit lui aussi une force physique supérieure, non pas grâce à la formule du Bouffon Vert, mais à celle de Kraven le Chasseur, dont il avait trouvé le Journal.
Il s’en servit notamment pour supprimer le Bouffon Noir, le démon qui avait partagé son corps à l’époque où il avait fait un pacte avec le démon N’Astirh pour acquérir de la puissance.
Parallèlement, Phil Urich, stagiaire au Daily Bugle, découvrit un repaire d’Harry Osborn en tentant d’aider son oncle Ben Urich, grand journaliste pilier du Bugle, et devint ainsi le quatrième mais gentil Bouffon Vert. Sa carrière toucha à son terme lorsque son équipement fut endommagé au cours d’une bataille contre une Sentinelle envoyée par Onslaught, juste avant le retour à New York du premier Bouffon Vert : Norman Osborn.
Quand il fut jugé après avoir été arrêté par le Sensationnel Spider-Man, alias Ben Reilly, le Spider-Clone, Macendale révéla qu’il n’était que le second Super-Bouffon et que le premier était Ned Leeds. Kingsley préféra alors l’exécuter, et en profita pour reprendre du service. Malheureusement pour lui, il fut finalement démasqué et arrêté par Spider-Man.
Pour retrouver sa liberté, il fit croire à Norman Osborn qu’il détenait toujours un de ses Journaux, ce qui fonctionna puisqu’Osborn envoya son nouveau Bouffon Vert, un inconnu servant juste à prouver qu’Osborn n’est pas le Bouffon Vert, le chercher. Kingsley révéla qu’en fait tous les Journaux étaient bien détruits, et pour survivre au châtiment d’Osborn, il lui conféra quasiment tous ses biens, parvenant à s’enfuir aux Caraïbes.
Spider-Man réussit finalement à vaincre le Bouffon Vert dans un accident qui lui fit même perdre la mémoire.
Retrouvant la mémoire, Norman décida de frapper son ennemi en plein cœur et kidnappa donc Gwen Stacy, qui était devenue entre temps la petite amie de Peter. Il lança alors un ultimatum à Spider-Man sur le pont George Washington, du haut duquel la jeune fille fut précipitée. Spider-Man voulut la rattraper avec sa toile, mais le choc lui brisa la nuque et elle perdit la vie.
Lorsque Spider-Man retrouva le Bouffon Vert, il eut du mal à se retenir de le tuer pour assouvir sa vengeance, mais son ennemi, qui avait moins de scrupules, tenta de l’embrocher avec son planeur téléguidé. Son sens d’araignée le prévenant du danger, il esquiva à temps, et c’est Osborn qui fut empalé.
Il se réveilla à la morgue et, quand il aperçut son fils Harry en train de s’entraîner pour prendre la relève, décida de profiter du fait que tout le monde le croyait mort pour bâtir un empire en Europe.
Pendant ce temps, Harry fut donc la seconde incarnation du Bouffon Vert, et il y eut même une troisième incarnation, certes éphémère puisque sa mort survint très tôt, en la personne du Dr. Bart Hamilton, psy de Harry.
Plus tard, George Hill, un petit voleur fuyant dans les égouts pour échapper à Spider-Man, découvrit un ancien repaire du Bouffon Vert et vendit l’information à Roderick Kingsley. Celui-ci modifia quelque peu l’équipement et devint le Super-Bouffon, après s’être débarrassé du voyou.
Après un essai sur Lefty Donovan, il réussit à recréer la formule du Journal d’Osborn conférant une puissance physique supérieure, et devint un redoutable adversaire pour Spider-Man. L’une de leurs batailles tourna néanmoins au désastre puisque son fourgon blindé, dans lequel ils se trouvaient, tomba dans l’Hudson et s’autodétruisit.
Spider-Man ne retrouva que le masque de son ennemi tandis que celui-ci regagnait son repaire, filé par le reporter du Bugle Ned Leeds. Il le repéra, le captura et lui lava le cerveau pour qu’à l’avenir ce soit lui qui endosse le costume de Super-Bouffon à sa place.
Il fit travailler Ned avec la Rose, alias Richard Fisk, le fils du Caïd, durant une guerre de gangs. Quand la Rose pactisa avec l’Arrangeur, Jack O’Lantern, homme de main de ce dernier, dut contre son gré faire équipe avec le Super-Bouffon.
Entre temps, Flash Thompson, ami de Peter Parker, ayant traité le Super-Bouffon de lâche à la télévision, celui-ci se vengea en le droguant et en lui mettant son costume pour le faire inculper à sa place.
Les lavages de cerveau commençant à rendre Ned instable, Roderick le laissa partir en Allemagne avec Peter Parker pour un reportage, et répandit dans la pègre le bruit qu’il était le Super-Bouffon. Quand Jason Macendale, alias Jack O’Lantern, en eut vent, il fit engager des tueurs de l’Étranger pour éliminer Leeds, et en profita pour prendre sa place.
Las de cette partie de sa vie, Kingsley décida de le laisser faire et de se consacrer à son empire industriel.
Harry Osborn, quant à lui, connut un parcours complexe puisqu’il fut aussi bien le pire ennemi de Spider-Man, dont il connaissait l’identité, que son partenaire lors de quelques affaires. Il finit par mourir empoisonné par le sérum qui accroissait sa puissance.
Macendale acquit lui aussi une force physique supérieure, non pas grâce à la formule du Bouffon Vert, mais à celle de Kraven le Chasseur, dont il avait trouvé le Journal.
Il s’en servit notamment pour supprimer le Bouffon Noir, le démon qui avait partagé son corps à l’époque où il avait fait un pacte avec le démon N’Astirh pour acquérir de la puissance.
Parallèlement, Phil Urich, stagiaire au Daily Bugle, découvrit un repaire d’Harry Osborn en tentant d’aider son oncle Ben Urich, grand journaliste pilier du Bugle, et devint ainsi le quatrième mais gentil Bouffon Vert. Sa carrière toucha à son terme lorsque son équipement fut endommagé au cours d’une bataille contre une Sentinelle envoyée par Onslaught, juste avant le retour à New York du premier Bouffon Vert : Norman Osborn.
Quand il fut jugé après avoir été arrêté par le Sensationnel Spider-Man, alias Ben Reilly, le Spider-Clone, Macendale révéla qu’il n’était que le second Super-Bouffon et que le premier était Ned Leeds. Kingsley préféra alors l’exécuter, et en profita pour reprendre du service. Malheureusement pour lui, il fut finalement démasqué et arrêté par Spider-Man.
Pour retrouver sa liberté, il fit croire à Norman Osborn qu’il détenait toujours un de ses Journaux, ce qui fonctionna puisqu’Osborn envoya son nouveau Bouffon Vert, un inconnu servant juste à prouver qu’Osborn n’est pas le Bouffon Vert, le chercher. Kingsley révéla qu’en fait tous les Journaux étaient bien détruits, et pour survivre au châtiment d’Osborn, il lui conféra quasiment tous ses biens, parvenant à s’enfuir aux Caraïbes.